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Etranges Voisins

Création par le Ballet du Capitole le 5 décembre 2012

 

 

Composition et arrangements musicaux  Anthony Rouchier aka A.P.P.A.R.T, d’après des pièces d’AntonioVivaldi et de Philippe Hersant 

Chorégraphie  Kader Belarbi 

Costumes  Philippe Combeau 

Lumières  Patrick Méeüs 

 

 

L'équivoque sonore d'Etranges Voisins appelle une équivoque chorégraphique. Les physionomies humaines étrangement animalisées révèlent une grammaire fantasque. 

 

La Bête et la Belle

Création par le Ballet du Capitole le 24 octobre 2013

 

Musique  Louis-Claude Daquin, Franz Josef Haydn,

György Ligeti, Maurice Ravel  

Chorégraphie et mise en scène  Kader Belarbi

Adaptation d’après le conte La Belle et la Bête 

Josseline Le Bourhis et Kader Belarbi 

Décors et costumes  Valérie Berman 

Lumières  Marc Parent 

 

 

L’inversion du titre La Bête et la Belle témoigne de la réinterprétation du conte. Kader Belarbi fait de cette fable le symbole de l’insoumission adolescente, de l’acceptation de la différence et de l’éveil au désir et à l’amour. La Bête s’humanise, car elle est moins un animal que le révélateur de l’animalité qui est en nous, tandis que la Belle surmonte sa répulsion et dépasse ses inhibitions pour trouver le chemin du cœur et du corps, et s’ouvrir à l’autre. Entre parcours initiatique et enchantement, le ballet est conçu sur une partition éclectique avec des décors et des costumes inattendus.

 

La Reine Morte

Ballet en deux actes 

Librement inspiré de La Reine morte d’Henry de Montherlant (1942) et de Reinar después de morir de Luis Vélez de Guevara (1652).

 

Création par le Ballet du Capitole le 26 octobre 2011 

 

Musique  Piotr Ilyitch Tchaïkovski

Adaptation, chorégraphie et mise en scène  Kader Belarbi

Décors  Bruno de Lavenère

Costumes  Olivier Bériot

Lumières  Sylvain Chevallot

 

De cette pièce de théâtre de Montherlant, Maeterlinck estime que son écriture « suffit à justifier une vie ». Ce monument de l’art dramatique raconte l’histoire improbable et pourtant véridique de Dom Pedro de Portugal et de son épouse illégitime, Inès de Castro qui, étrangement, devint reine après sa mort.

S’inspirant de cette bouleversante histoire pour en faire un ballet, le chorégraphe Kader Belarbi, « persuadé que la tragédie est l’une des clefs pour déchiffrer l’énigme des agissements humains et des rapports entre les êtres », aborde le thème de l’amour fou contrarié par la raison d’état.

Dans une chorégraphie qui fait la part belle au langage néoclassique, il nous révèle toutes les beautés et les ciselures de ce « poignard au manche damasquiné, noir et or ».

 

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